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 The last day on earth {Jay}

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MessageSujet: The last day on earth {Jay}   The last day on earth {Jay} EmptyLun 19 Déc - 22:07

The last day on earth {Jay} Ion53a




La panne. Je ne vous parle pas de celle simulée par un petit ami qui manque d’idées pour mettre du piment dans votre vie sexuelle mais bel et bien d’une panne d’essence, lorsque le réservoir est à sec et que vos bidons sont également vides et ce malgré le fait que vous ne soyez qu’à quelques kilomètres du havre de paix que vous tentez d’atteindre depuis une éternité. Je ne fus pas étonnée, j’avais toujours eu une poisse incroyable et le fait de tomber en rade de carburant en plein milieu d’une autoroute envahie par les voitures et des refuges potentiels pour d’éventuels zombies n’était pas réellement une surprise. En réalité, je m’étonnais même que le sort n’ait pas choisi de me frapper plus tôt, lui qui aimait tant me tourmenter depuis ma plus tendre enfance mais j’imaginais que c’était parce qu’il voulait frapper un grand coup et me torturer juste ce qu’il fallait pour que je croie ma dernière heure arriver. Ma pauvre voiture toussota, oui elle était comme une meilleure amie depuis que j’étais seule face au monde entier et que les personnes que je rencontrais et avec qui je pouvais dialoguer se faisaient rare, puis elle finit par s’arrêter net, ayant essayé jusqu’au bout de me sortir de cette merde dans laquelle j’étais jusqu’au cou. Je tapotai le volant comme on le fait avec la tête d’un chien, elle m’avait bien aidé et ça me faisait mal au cœur de l’abandonner là mais je n’avais clairement pas le choix, si je restais trop longtemps au même endroit, ce serait eux qui finiraient pas me trouver et me dépecer comme une orange ou un quelconque fruit trop mûr. Envisager que je pouvais me retrouver dans le coin en pleine nuit me donnait la nausée. Depuis que j’étais gamine, j’avais une peur bleue du noir et le fait d’être seule au monde n’avait pourtant pas complètement effacé mes angoisses enfantines et ridicules. J’attrapai donc mon sac à la va vite, le remplis de nourriture et d’armes et sortis de la voiture après avoir regardé dans le rétroviseur et m’être tournée des dizaines de fois. Je fis signe à mon chien qui se mit sur ses pattes et me suivit de près, comme le garde du corps qu’il était. Il sentait ma peur et tentait de me réconforter en me léchant quelques fois la main, montrant sans doute qu’il était là et ne comptait pas me lâcher de sitôt. Cela me donna assez de baume au cœur pour que j’avance à pas de loup, à l’affût du moindre bruit suspect. J’avais bien l’intention de rejoindre New Eden à pieds, quoi qu’il m’en coûte et je fis deux kilomètres sans le moindre problème, j’avais sans doute un peu trop forcé ma chance puisque je finis par me blesser la main en trébuchant et en tentant de me retenir à ce que je pus et le peu de sang qui s’échappa de mon écorchure agita tous les morts du périmètre et les attira vers moi.

« BORDEL DE MERDE ! »
lâché-je en priant le ciel pour que j’arrive aux remparts de la ville avant qu’ils ne m’aient bouffé « MISFIT, COURS ! »

Mon cœur cavalait dans ma poitrine alors que j’avais un nœud terrible au ventre et que je courais comme si ma vie en dépendait, ayant oublié une règle élémentaire, celle de s’assurer qu’on ne fonce pas droit dans une impasse lorsque l’on s’enfuit. En dépit de ma furieuse envie de vivre, je me confrontai à une évidence qui me dépassait et de loin : ce n’était peut-être pas mon destin de continuer à respirer et à marcher sur cette Terre. Un véritable mur de voitures et de carcasses s’élevait devant moi, m’empêchant de poursuivre mon avancée. J’ignorais ce qu’il faisait là et encore plus qui l’avait érigé mais je n’avais pas le temps de me préoccuper de tout ça, je devais penser à survivre le plus longtemps possible et surtout protéger mon chien qui se mettait déjà devant moi pour me protéger, comme le fidèle compagnon qu’il était depuis que je l’avais adopter. Je lui donnai l’ordre de se coucher derrière moi et il s’exécuta à contre cœur, gémissant comme si je lui avais arraché les yeux à mains nues. Je sortis un fusil à pompes que j’avais récupéré sur un cadavre des semaines plus tôt et je le chargeai, non sans trembler comme une feuille, je n’étais toujours pas habituée à cet exercice périlleux et il me faudrait sans doute bien plus que des années pour m’y faire, peut-être un entraînement de choc ou bien peut-être que je ne m’y ferais tout bonnement jamais. Mon dogue allemand se mit à montrer les crocs et se fut le moment que je choisis pour tirer, faisant exploser le crâne d’un enfant avant de me faire celui d’un gros au ventre flasque. Lorsque j’eus utilisée toutes mes munitions, je n’eus d’autre choix que de sortir ma batte de baseball et de me mettre à faire des moulinets avec mes bras, espérant que ça les ferait fuir mais au contraire, cela semblait les exciter davantage.

« Allez en Enfer bande de saletés ! » hurlé-je avec colère

J’aurais voulu que mon chien s’enfuie, qu’il m’abandonne parce que sa vie m’importait, au fond, plus que la mienne mais il ne bougea pas d’un cil, prêt à réduire à néant le premier zombie qui oserait me faire du mal, même si cela devait lui coûter la vie et je préférais y laisser la mienne plutôt que de continuer à respirer avec la mort de mon compagnon d’infortune sur la conscience. Ca pouvait sembler fou mais le monde ne l’était-il pas en ce moment ? Ma batte s’abattit sur le crâne d’un grand gaillard et repartit de nouveau vers une strip-teaseuse , il était clair qu’à ce rythme, je ne tiendrais pas plus que de quelques minutes, je commençais déjà à faire mes prières, en espérant que Dieu accueillerait à bras ouverts une hérétique comme moi.


Dernière édition par Lyra Matthews le Jeu 22 Déc - 12:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: The last day on earth {Jay}   The last day on earth {Jay} EmptyMer 21 Déc - 18:30

The last day on earth {Jay} 9jgdvb


La route. Jeremiah adorait ça. Cette sensation de liberté, y'avait que ça de vrai ! Il avait dégoté une harley en super état et il s'éclatait comme un gosse avec. Plus de flics pour vous dire que vous étiez en excès de vitesse ! Ou que vous conduisiez en état d'ivresse. Non, cette fois Jeremiah n'avait pas bu mais ça lui arrivait. Il fallait bien occuper certaines de ses soirées, surtout maintenant qu'il n'avait plus de réel but pour avancer. Avant il avait l'impression d'avoir une mission, il débarrassait le monde de pourritures dans son genre. Oui, quoiqu'on en dise il était un chasseur, un tueur, violent et avide de sang. La seule chose qui le plaçait au dessus de ses pairs était qu'il ne s'en prenait pas aux innocents. Il aurait pu, comme beaucoup d'autres, s'attaquer à des femmes comme sa mère ou reproduire les violences qu'il avait subit sur des petits garçons. Peut être que ses thérapies n'avaient pas été en vain. Après avoir tué sa mère, il avait été placé en foyer et suivit. A cette époque il entendait des voix, mais avec le temps il n'en était restée qu'une. Daphnée. Une sorte de conscience, un jiminy crickett. Et depuis l'épidémie il avait du mal à trouver ses médicaments alors ce n'était pas plus mal que cette fille ai pris place dans sa tête car elle l'empêchait de trop déconner...
Il aperçut une voiture arrêtée en plein milieu de la route. Il s'arrêta et cala sa moto avec la béquille. Il regarda aux alentours : rien à l'horizon. Il sortit son katana, rangé dans son dos, et s'approcha de la bagnole. Un rapide coup d'oeil lui indiqua qu'il n'y avait personne dedans mais en posant sa main sur le capot il sut que l'occupant n'avait pas du l'abandonner depuis longtemps car le moteur était encore chaud. Il rangea son arme et reprit la route. Peut être qu'il croiserait cette personne. Il ne serait pas étonnée qu'elle eut fait cette route pour se rendre à New Eden, comme des centaines de personne avant. Jeremiah en avait même escorté certaines. Alors qu'il roulait il fut persuadé d'avoir vu comme des éclairs au loin, là où les voitures quittant la ville s'était entassées et bloquaient la circulation. Quelqu'un tirait, ça ne faisait pas de doute. Il accéléra. Son instinct de pseudo héros le poussait à toujours porter secours à des inconnus. L'adrénaline, le meurtre aussi, même si pour le coup les assaillants étaient comme déjà morts.
Il repéra alors ce qui semblait être une femme se battant avec des zombies à coup de batte de baseball. *Pas mal ! * se dit il avec un sourire en coin. Il n'était qu'à quelques mètres, elle ne l'avait sans doute pas entendu tant elle pestait contre ses assaillants et... Elle avait un chien. Ca faisait un bail qu'il n'en avait pas vu. Il arrêta sa moto et empoigna son fusil qui était à l'arrière. Il chargea et klaxonna plusieurs fois.

« RAMENE TOI !!!» Il n'était pas fou, plus ils resteraient plus y'aurait de marcheurs. Hors de question de crever quand y'a une solution. Il ajusta son fusil de chasse et visa. Il espérait qu'elle aurait compris et visait les zombies les plus proches d'elle.

« ALLEZ COURS !! » hurla-t-il entre deux tirs. La fille arriva, son chien aussi. Il avait pas prévu d'avoir ce genre de passager mais bon. Si elle le gérait... Parce que c'était un sacré chien... Heureusement y'avait de la place sur la Harley.
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MessageSujet: Re: The last day on earth {Jay}   The last day on earth {Jay} EmptyJeu 22 Déc - 21:39



Je voyais ma dernière heure arriver, le peu de vie que j’avais eu, défiler devant mes yeux à une vitesse effarante et la conclusion était à pleurer. Ma vie avait été incroyablement triste et sans intérêt. Je n’avais fait aucune grande découverte qui aurait pu révolutionner un quelconque domaine, je n’avais jamais participé à des fêtes mémorables, je n’avais jamais été impliquée dans une organisation au point de me battre corps et âme pour obtenir gain de cause. J’étais aussi insipide que ma vie et aussi terrible que cela pouvait paraître, j’avais réellement commencé à exister le jour où je dus me battre pour continuer à respirer. Je ne compris la valeur de la vie qu’en manquant de la perdre à de nombreuses reprises et aujourd’hui, j’étais bien plus heureuse que lorsque le monde tournait encore rond et qu’il fallait que je tape du pied pour que l’on finisse enfin par me voir et m’entendre. J’avais gagné en caractère et en charisme, je n’étais certainement pas une fille de poigne mais j’étais au moins passée du statut de fille insignifiante à celui de femme guerrière. Mon quotidien était une bataille sans fin contre toutes sortes de catastrophes : zombies, pannes d’essence ou de nourriture, besoin de trouver un endroit tranquille pour aller me soulager. Mine de rien, le fait d’avoir survécu n’était pas anodin et j’aurais aimé qu’on me remette une médaille pour avoir été capable de protéger ma vie avec peu et aussi longtemps. Je méritais sans doute un parterre de fleurs et des statues. C’était certes, exagéré mais j’avais le droit de rêver non ? Sauf que ce n’était pas le moment, j’étais encerclée de morts vivants assoiffés de chair fraîche et d’ici quelques secondes, je sentirais leurs dents plonger dans ma peau comme dans du beurre alors que j’hurlerais de douleur. La perspective de me faire bouffer toute crue ne m’enchantait guère, sans doute était-ce la raison pour laquelle je continuais à les frapper un par un, inlassablement, sachant que je finirais par me fatiguer mais préférant mourir de fatigue plutôt que dévorée vivante par des monstres que mon esprit fragile n’aurait jamais pu fabriquer dans mes pires cauchemars. Mes bras commençaient à être parcourus de milliers de fourmillements dus à la fatigue et je ressentais la douleur avec plus de force à chaque seconde, pourtant, je m’accrochais désespérément à ma vie, à l’espoir que peut-être, quelqu’un pourrait passer par là, m’entendre ou me voir et me venir en aide. J’eus une sacrée chance de cocue que Dieu soit connecté sur ma fréquence au moment où je pensais ça, ou peut-être était-ce tout simplement la chance, le destin ou le hasard. Je n’en savais strictement rien et je n’en avais que faire, le fait était que je n’étais plus la seule humaine digne de ce nom sur cette route menant à l’Enfer et même si à deux, nous ne pourrions jamais venir à bout de tous ces zombies, j’étais rassurée. Il me fallut néanmoins un peu de temps pour réagir et quand il explosa un marcheur juste à côté de moi, je me mis à courir, abandonnant mes armes sans regret pour le rejoindre, mon chien sur les talons.

M’installer sur la selle fut un jeu d’enfants mais ce fut une véritable mission d’installe mon chien et une fois que je le tins serré contre moi, je tapotai l’épaule de mon sauveur pour qu’il démarre, tentant de rassurer Misfit comme je le pouvais. La pauvre bête gémissait comme si sa dernière heure était venue et je crus un moment qu’il était blessé avant de me rappeler qu’il n’avait pas bougé de derrière moi et qu’en prime, aucune goutte de sang ne venait souiller son pelage. Dans ma précipitation, je n’avais même pas pris la peine de regarder le visage de la cavalerie et encore moins de dire merci mais je me dis que j’aurais bien le temps de me charger de tout ça une fois que nous serions tous en sécurité. Il peina à faire partir sa bécane, sans doute à cause du poids de mon chien et d’ailleurs, je crus que les morts nous auraient tant nous avancions avec une lenteur à pleurer et pourtant, il finit par accélérer avec plus de force, mettant sa Harley au défi et elle répondit présente. Si bien qu’au bout de quelques minutes, ils furent tous hors de portée et je pus respirer avec davantage d’aisance mais ce ne fut rien à côté du moment où nous pénétrâmes dans une véritable forteresse surveillée et surtout protégée. Je n’en crus pas mes yeux et quand je pus enfin descendre, mon sac sur le dos et mon chien à côté de moi, j’eus l’impression de rêver. Cela faisait des mois que j’attendais ce moment, celui de pouvoir me retrouver avec d’autres survivants, discuter et surtout ne pas les voir mourir parce qu’ils avaient voulu me protéger, moi la fille fragile qui, pourtant, était encore là. Les yeux brillants, je devais avoir l’air d’une cinglée à fixer les passants avec émerveillement. Il me fallut plusieurs minutes pour revenir sur terre et me souvenir que j’avais complètement oublié mes bonnes manières. Je me tournai vers notre chauffeur et ce fut le choc. Je n’aurais pu oublier son visage même en le voulant extrêmement fort, celui-ci était encré dans ma mémoire de manière indélébile. Ecoutant plus mon cœur que ma raison, je lui bondis littéralement dessus, le serrant contre moi avec force, respirant son odeur qui me ramenait des années en arrière, à une sale période. Je finis par le lâcher avec un certain empressement, prenant conscience du malaise que ma réaction avait créé.

« Je suis désolée, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise. Tu ne te souviens probablement pas de moi mais tu m’as aidé, y a quelques années, j’étais en sale posture, un timbré m’avait enlevé et tu es venu me sortir de là. »

Je lui offris un sourire gêné avant de reculer de plusieurs pas pour lui laisser un peu d’air, j’en profitai pour caresser la tête de mon chien.

« Encore une fois tu m’as sauvé la mise, je te dois une fière chandelle, si tu as besoin de quoi que ce soit, demande et j’essaierai de te trouver ça. J’ai pas mal de nourriture en boîte, rien de fabuleux mais si ça peut te rendre service. »

C’était mon problème lorsque j’étais nerveuse, je me transformais en véritable moulin à paroles, regardant un point sur le sol pour ne pas avoir à affronter le regard de mon interlocuteur, face à lui, j’avais l’impression d’être une gamine timide, celle que j’avais toujours été. Je finis par relever la tête, je n’étais plus cette petite fille.
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MessageSujet: Re: The last day on earth {Jay}   The last day on earth {Jay} EmptyMer 28 Déc - 15:31

Jeremiah ne comptait même plus le nombre de fois où il avait cru que c'était sa dernière heure. Jamais il n'avait fait le bilan de sa vie, non à chaque fois il s'était juste battu avec encore plus de hargne pour ne pas que ça s'arrête. Il se fichait bien d'avoir "vraiment vécu", comme l'entend le commun des mortels. Il voulait juste continuer à respirer et vivre tout simplement. C'était fou ce que nos instincts animaux pouvaient ressortir dans des moments pareils. Et s'il devait crever il espérait bien choisir la manière et ce n'était pas bouffé par des choses qui ne devraient même pas exister. Enfin, pour le moment, il n'était pas question de son hypothétique fin mais de celle d'une inconnue et son chien.
Jeremiah était tombé à point nommé pour la sortir de la merde. Ce qu'il ignorait c'est que ce n'était pas la première fois. Qu'aurait il fait si on lui avait dit ? Bonne question... En attendant, il la laissa monter sur sa harley, avec son chien. Non sans pousser un grognement car il n'avait jamais été fan des animaux. Quand elle lui tapa sur l'épaule, il n'attendit pas une minute de plus et démarra en trombe, le moteur vombrissant de la Harley étouffant les gémissements du chien qui ne devait pas apprécier la balade. C'était un peu dur pour elle d'être à pleine puissance à cause du poids mais il était déterminé à lui faire cracher toute sa puissance.
Il roula jusqu'à New Eden, en passant par les endroits à peu près sécurisés. Il était connu là bas alors on lui ouvrit les premières grilles. Premières oui car pour entrer dans la partie civile fallait montrer patte blanche. Ils ne pouvaient pas risquer de faire entrer quelqu'un de contaminé. Jeremiah salua un des gars armé et descendit de sa moto. Le chien sauta à terre et se mit à renifler le sol. Notre sauveur se tourna vers la jeune femme sans vraiment la regarder mais il sentit qu'elle le fixait alors il s'attarda sur elle plutôt que son sac de voyage. Elle passa une jambe pour descendre de la Harley, enfin c'est ce qu'il croyait car d'un coup elle lui sauta dessus. Réflexe parano, il lui tira les cheveux pour éviter qu'elle le morde et il entendit une arme se charger. Mais l'entendant parler, il se détendit et fit signe que tout allait bien. Les filles étaient vraiment pas nettes... Il se pinça l'intérireur des joues et tout en la repoussant gentiment il lui assura qu'elle se trompait. « Tu dois confondre, désolé. » Elle recula mais sur le coup elle ne parut pas l'entendre car elle enchaina en caressant la tête de son chien. « Non, j'ai besoin de rien, et je l'ai pas fait pour ça ! » Il passa une main dans ses cheveux. Elle releva son visage vers lui et il l'observa quelques instants. Il n'était pas certain mais en même temps il n'avait pas sauvé directement beaucoup de filles (ou autres) à l'époque où il était une sorte de justicier. Elle avait ce même regard... Il ne savait pas du tout réagir, jamais il n'aurait pensé que ça arriverait.
Comme sauvé par le gong un des gardes les interrompit pour leur annoncer que fallait passer en zone médicale pour vérifier qu'ils allaient bien.

HJ : désolée pour le retard. Je pensais pas que tu les ferais arriver direct à New Eden ni dire qu'elle le reconnaissait cash ^^ Je propose qu'on les fasse se revoir dans la ville après leur examen ?
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