Votre identité

❝ « Hello ! Je m'appelle Zack Preston j'ai 27 ans, je suis né(e) le 13 Juin à Los Angeles. Je suis de nationalité Americaine , et je suis celibataire.... Ah j'oubliais je suis hétéro... je crois. au cas où ça vous intéresserait de le savoir. Mon métier c'est le beau métier de métier, et je souhaite rejoindre le groupe des Shot in The Dark parce que le nom est classe. Et que je protege la ville, c'too. .

Si on devait parler de mon physique en quelques mots voila ceux que l'on emploierait : Sexy, grand, musclé... , et mentalement les voila : Froid, Calculateur, Arrogant, Protecteur, un peu macho sur les bords... .

Je pense que j'ai tout dit... Ah, la célébrité que j'utilise est Harvey Newton elle est plutôt pas mal, vous ne trouvez pas ?

Votre Histoire

« 2002 »

Une scène banale, deux jeunes gens dans un fast food. Face à face.

« Pourquoi est ce que tu veux connaître mon histoire ? »
« Tu me fascine beau brun. Tu me fascine. »
« Tu crois que le fait que je te fascine va t’aider à me mettre dans ton lit ? »
« Non, mais je refuse que tu vienne dans le mien si tu ne me raconte pas ta vie. »

Un sourire un rien taquin se dessine sur le visage de l’homme torse nu, Zack Preston, 16 Ans, semble hésiter avant de parler un peu, mais la fille en face de lui est vraiment trop craquante pour qu’il lui resiste, alors il commence à parler, a lui parler de lui, de son enfance.

« Je suis né au monde indesiré, ma mère était une de ces femmes qui vendent leur corps pour de l’argent. Je n’ai pas honte de le dire, ma mère était une pute… Une fille de joie qui ne m’a jamais voulu. A l’époque elle était encore sous le joug d’un homme qui la battait pour des futilités, soit parce qu’elle ne ramenait pas assez d’argent, soit parce qu’au fond, il aimait bien ça, la dominer la battre. Je n’étais qu’un pauvre gamin, tu imagine ce qui se passe dans la tête d’un gamin qui voit sa mère se faire tirer par les cheveux avant de se faire plaquer contre le sol pour une séance de sexe bestiale ? Tu aimerai avoir grandi dans cette ambiance la ? »
« Zack je… »
« Ne dis rien. Je veux pas ta pitié. Tu as voulu savoir, laisse moi continuer. Ca fait 16 ans que ça dure, 16 ans que je vois ce meme homme maltraiter ma mère, la forcer à vendre son corps, et en abuser lui aussi. Je le tuerais un jour. Je te jure que je le tuerais. Mais je ne devrais pas m’en faire pourtant, ma mère ne m’aime pas. J’ai qu’a attendre d’avoir 18 ans, et me tirer d’ici. »
« … »
« Tu vois, tu voulais savoir ma vie, maintenant t’as peur. Plus jamais je ne dirais rien a personne. »

Dans un fracas brutal, il se leve de table, et s’en va dans la rue, prêt à en découdre avec n’importe qui. Raconter sa vie ne lui reussit pas.

« 2003 »

Toujours le même homme. L’air beaucoup plus grave, vêtu d’un costume a la barre d’un tribunal. Il parle d’une voix sereine, sans haine, alors que des filles qu’il a connu vaguement pleurent au premier rang.

« Vous reconnaissez l’avoir abatu de sang froid. »
« Oui. »
« Pourquoi ? »
« Je vous ai déjà raconté cette histoire. Condamnez moi qu’on en finisse. »
« Le tribunal aimerait l’entendre. »
« Si vous y tenez, ça ne changera rien à la sentence de toutes manieres. L’histoire est tellement banale, je suis rentré chez moi vendredi 18 au matin, et j’ai trouvé ma mère morte baignant dans son sang. Elle avait le crane fracassé sur une table en verre. Vous auriez aimé trouver votre mère comme ça ? Meme si elle ne m’aimait pas… C’était ma mère tu vois, ça ne pouvait être que lui. »
« Et donc ? »
« Je suis allé trouver Aaron Gorsky, son souteneur pour lui demander des comptes et il m’a avoué l’avoir puni parce qu’elle avait désobéi. Vous seriez resté de marbre vous ? Moi pas. Je l’ai tapé jusqu'à ce que mort s’ensuive. »
« De sang froid ? »
« Je ne regrette pas mon geste. »

Peut être que ça faisait de lui un monstre, peut être qu’il regretterait plus tard, mais quand le verdict tomba, le condamnant à 20 ans de prisons, il quitta le tribunal un sourire aux lèvres. L’homme avait eu ce qu’il méritait. La justice demeurait aveugle… Et en prison au moins, il trouverait peut être quelqu’un qui s’occuperait enfin de lui.

« 2006 »

Deux prisonniers discutent pendant une pause cigarette, dans la cours de la prison.

« Tu t’ennuie pas trop de la vie dehors toi ? »
« Je ne sais pas trop, de quoi je pourrais m’ennuyer. »
« Je sais pas, t’as pas une famille, quelque chose comme ça ? »
« Je n’ai jamais fais confiance à personne. Ma mère est morte, et c’est parce que je l’ai vengé que je suis ici. »
« Je suis desolé pour toi gars. Tu verra… quand on sortira de la, on s’installera tous les deux. Comme deux frères. J’ai une famille gentille, ils t’accepteront. »

Zack… n’eut jamais le temps de sortir de prison, ni de gouter à la vie idyllique lui avait proposé son camarade… Trois ans plus tard, la pandémie due au virus Nyx frappait tous les Etats Unis, et les prisonniers étaient liberés de leurs chaines. C’était pas si dur de se réhabituer à l’air libre au fond, a part que l’air était irrespirable. Homme bon dans le fond, ayant passé ses années en prisons à se muscler, à se construire un corps de reve, Zack tenta au début de parcourir un peu les terres qui s’assechaient pour trouver des gens à aider… La solitude, lui convenait, et quand il trouvait des gens, il essayait de les laisser avec des groupes de survivants.

Un jour tout a changé… Changement d’avis peut être, la solitude s’est mise à lui peser, il a finit à New Eden, et se charge désormais de protéger la ville. Ca lui donne un but en quelque sorte. Il passe sa frustration, sa colère sur le tir sur zombie… Et puis en protégeant des gens, il fait plus ou moins amende honorable…. Plus ou moins. Bien sur, tout le monde ignore qu’il a fait de la prison, qu’il a tué un homme et ces choses la, et il n’est pas prêt à le dire. Mais le monde… a t’il encore le temps de le juger pour un crime pareil, quand toute la société est détruite… ?

Chaton... Fouette moi. Vio...Caline moi. & tout ce que tu veux. 24 Ans je crois