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 Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov]

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Elisabeth E. Alekseiva
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Elisabeth E. Alekseiva



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MessageSujet: Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov]   Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov] EmptyDim 4 Déc - 15:48

Aleksander Loskov & Elisabeth Alekseiva
Qui es tu, homme ?


Le soleil pointait le bout de son nez sur les Etats-Unis tandis que la nuit reprenait son droit dans l'est de l'Asie. M'éveillant d'un sommeil léger ponctué de cauchemars venant de mon passé. Chaque nuit. Sans cesse, je revivais la mort de mes parents, les horreurs que m'avaient subir Hélios. Ayant marre, de rester allonger dans mon lit comme avant quand je faisais croire aux servantes de mère que j'avais bien dormi 10h00 et que je n'étais pas partie me balader avec ma jument. Je m'habilla d'une robe noire à longue manche où par dessus je mis une fourrure blanche. Je me maquilla alors dans les tons bleutés et je mis ma chaine à 4 étoiles qui étaient argentées. J'enfilai mes bottines de cuir et sans sommation je partie, je m'évadai de nouveau de mon quotidien pesant.

Inconsciemment, je pris le même chemin qu'hier soir. Celui qui menait au The Park de la ville. Un endroit où la nature à tout ses droits. Là haut dans ce parc où personne ne va. Quant j'ai besoin d'énergie, c'est ici que je la prends et quand je pleure, personne n'est obligé d'assister à cela et les oiseaux chantent cette mélodie qu'est mes pleurs avec tant de grâce, que le sourire me revient. Et quelque fois, je m'y endors sur mes deux oreilles, les animaux gardant mon nid de tranquillité intact.Mère nature a bien fait les choses après tout. Donc reprenons. Ce parc dont je vante les vertus, est aussi un magnifique espace vert, je parie que si on en fait la chromatographie, le résultat sera éblouissant ! Cet endroit de New Eden s'étend sur des kilomètres à la ronde, préservé comme jamais, pas un seul arbre n'est coupé sauf si il gène un de ses congénères et encore c'est à contre cœur. La flore est banale mais les fleurs les plus belles à voir sont les roses rouges dans leurs roseraies noires. La chaine alimentaire de ce parc est à l'originel, avant même que nous homme nous y intégrons de force, brisant l'équilibre qui fut jadis.

Après avoir marché d'un pas tranquille dans le parc, d'un pas gracieux comme une elfe. Je repérai enfin, mon arbre préférée. Un chêne donc le tronc est creux à la bonne taille pour mon dos. J'entourai l'arbre de mes bras, lui disant bonjour comme à l'habitude et je m'y assis, le dos calé contre le tronc, mes jambes en tailleur. Tandis que je fermé les yeux pour méditer, une petite brise se leva, faisant virevolter avec douceur mes longs cheveux noirs. Oubliant toute pensée, mon corps se relâcha, j'étais molle et ouverte à tous mes ennemis voulant me tuer. J'étais sans défense mais cela m'importais peu.

Quelques minutes après, un bruit troubla ma tendre méditation. D'un mouvement agile, je fus debout en un clin d'oeil. Et je vis un corps de loin, s'avancer vers moi. Qui en l'occurence était un homme, armé jusqu'aux dents. *Encore * me dis-je à moi même. Et ma vilaine pensée que je nomme arwen. M'envoya cette réplique *Il ne fallait pas faire des bêtises quand on était plus jeune* Où est la dignité d'antan me demandai-je. Après tout dès qu'on accepte des pots de vin, c'est pour tout les crimes.Vous ne trouvez pas cela triste ? Moi ci. Bon voilà le duel mental est terminé. Mais en attendant, l'homme n'est plus qu'à quelque mètre de moi, grand, barbu, légèrement salit par la boue à cause de ses couchés-levés militaires. Ah lala les hommes. En attendant cela ne m'empêcha pas de me poser sérieusement une question, enfin de lui poser à lui. Donc d'un ton ultra-sec tenu de mes années de tsarine officielle siégeant à Moscou je lui dis :
< <- Halte ! Qui es tu toi qui s'avance vers moi armé jusqu'aux dents ? >>

L'homme à mon grand déplaisir, semblait prendre son temps avant de daigner de me dire son nom. Je pouvais seulement vous dire qu'il était russe. Mais de quel camps ? Mystère.


Dernière édition par Elisabeth E. Alekseiva le Dim 4 Déc - 22:08, édité 1 fois
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Aleksander Loskov
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MessageSujet: Re: Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov]   Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov] EmptyDim 4 Déc - 20:12

"Without kindness, love, compassion or hope towards others the world would be a terrible place, but if we have kindness, love, compassion and hope towards others the world will become a better place for all. We all must strive for a better future, a better world of peace, love and hope. For freedom, love and hope is the right of all beings great and small."

C'était il y a quelque mois. Le soleil pointait le bout de son nez sur les Etats-Unis tandis que la nuit reprenait son droit dans l'est de l'Asie. Je m'éveillais seul dans mon lit, une présence réconfortante me manquait. Ma femme me manquait, mes filles me manquaient, ma sœur aussi me manquait. J'étais si seul, si triste. Mon sommeil était rempli de scènes de chaos, de mort et de désolation. Je revivais la mort de ma femme et de mes filles, je vivais des scènes qui n'était pas celles de ma vie mais peut être des prémonitions. J'ai vu Elisabeth, ma Tsarine, mourir le corps troué de balles dans un de mes rêves. J'ai vu Luka et Cath être assassinée d'une manière horrible dans un autre rêve. Je devais être maudit, cependant la vie en général m'a appris que souvent on tombe pour mieux se relever après. Je n'ai appris à rêver d'un futur meilleur, je me bats pour ce futur meilleur. Un monde de paix, d'amour et d'espoir. Hélios a ravagé ce monde ainsi que tout espoir. Mais ou est-il ? il est en chacun de nous. C'est l'Espoir qui nous rend fort, c'est grâce a lui que nous sommes ici, c'est avec l'Espoir que nous combattons quand tout le reste est perdu... Je me levais et m'étirais, prit un petit déjeuner solide, enfila ma tenue de combat et mes Rangers, prit mes armes et sortit prendre l'air. Je me rendais compte que j'avais oublié de mettre ma cagoule, pas grave après tout. Comme à mon habitude, je m'évadais de mon train-train à me morfondre quotidiennement.

Inconsciemment, je repris le même chemin que hier. Celui qui menait au parc de la ville. Un endroit où la nature à tout ses droits. Là haut dans ce parc où personne ne va. Quant j'ai besoin de paix d'esprit et de tranquillité, je viens ici. La solitude et le chant des oiseaux me rendent plus calme, plus serein, plus apte à affronter les épreuves de cette vie, de ce monde de mort. Mère nature a bien fait les choses après tout, cependant c'est un virus qui l'a quand même eue. Cet endroit de New Eden s'étend est préservé comme jamais et farouchement par Dame Nature. La chaine alimentaire de ce parc est à l'originel, avant même que nous homme nous y intégrons de force, brisant l'équilibre qui fut jadis et cela avant qu'un virus ne bouscule l'ordre naturel des choses.

Je rentrais tranquillement dans le parc. Je repérais le fameux chêne, un chêne donc le tronc est creux et suffisamment large pour se reposer à l'intérieur. J'optais pour aller m'asseoir sur un banc proche et des branches craquaient sous mes pas et le poids de mon équipement. Je vis quelqu'un se lever mais difficile de reconnaître les traits à cette distance. Et je m'arrêtais quand je l'entendis me parler d'un ton très sec, une voix que je reconnaissais....J'enlevais le casque pour mettre ma cagoule. Je voulais lui faire peur.

<< Halte ! Qui es tu toi qui s'avance vers moi armé jusqu'aux dents ? >>

Elisabeth mon dieu ! Mais je ne me pressais pas. Je lui répondis d'un accent bien de chez nous :

<< Et toi tu es qui pour oser me parler ainsi ? Tu n'es plus chez toi Tsarine alors ferme là et écoute moi bien ! J'ai pour mission de t'éliminer mais aujourd'hui je vais juste m'amuser avec toi ! >>

Et j'approchais d'elle sereinement, tranquillement tout en enlevant casque et cagoule. Et sourit comme un gosse.

<< Je t'ai bien eu ! >>

A ce moment là je posais juste un genou à terre, lui prit la main pour la baiser, puis me leva pour l'embrasser sur le coin des lèvres. Je souriais.

<< Je te croyais morte Elisabeth... >>
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Elisabeth E. Alekseiva
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MessageSujet: Re: Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov]   Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov] EmptyLun 5 Déc - 21:58

Aleksander Loskov & Elisabeth Alekseiva
Моя смерть причаливает ему?
Ma mort approche elle ?


Les épreuves sont des vagues qui s'écrasent contre les rochers, les fondations de notre âme et de notre cœur. Des vagues salées. Aussi puissante que des tsunamis. Noyant les âmes les plus purs et parfois c'est des rêves qui s'effondrent. Cette euphorie devient alors fantasme insatiable. Le temps est aussi un connard. Il vous fait oublier vos plus beaux souvenirs, ne laissant que devant vos yeux, les gros nuages de pluie. Comme d'habitude, les plus mauvais sont épargnés. Loin bien loin.Chaque fois que je les vois, j'ai envie de leur cracher dessus.Malheureusement, des fois c'est un coup de massue qui vous attend en rentrant.Qui vient souvent des personnes sur lesquelles on compte le plus, soit elles vous trahis soit elles disparaissent pour vous protéger. Et à un moment on sature, telle une cocotte minute qui chauffe.Brutalement. Et lorsque cela dure depuis plus de 25 ans, je vous assure cela vous tue. Vous dévore, vous torture. Infiniment.Sans pitié.Répondez moi ! N'avez vous point honte ?De faire le mal, de trahir les gens que vous aimez, de mourir seule en trompant femme comme homme ? Nous, victimes, de vos magouilles, nous sommes fières et nous nous battrons pour nous faire attendre. The life is précious. Moi tsarine, je vous le dis, je le revendique. Liberté. Egalité. Sagesse. Vérité.Confiance.Amour.

Elisabeth interrompant le flux de ses pensés. Regarda l'homme s'approcher doucement près d'elle. Une sensation de malaise la prit sous le coups. Vérité qui s'avéra correcte quelque instant après. Dame Alekseiva voulut répondre à ces paroles mordantes comme de l'acier trempé. Sauf que ... Elle entendit le cliquetis d'une arme à feu. A ce moment ci, elle se rémora un instant enfouis dans sa mémoire. Le moment, ou elle vu, enfin ou elle crut voir son garde du corps, son homme tomber à la renverse sous le coup des Ultra. Encore une fois. Une rage sombre, la sortit de ses gonds, du calme qu'elle venait d'acquérir. Elle mis ses mains devant elle, sa main gauche devant et sa droite décalé vers l'arrière. Elle sonda une dernière fois de ses yeux l'homme qui était devant elle, le dernier regard qu'elle verrait de sa courte vie. Et le temps, se ralentit, l'homme baissa son arme, courant vers elle, enlevant sa cagoule.
<< Je t'ai bien eu ! Je te croyais morte Elisabeth... >>

La jeune femme loupa un battement de cœur puis un deuxième. Sa bouche devenait sec, elle n'arrivait plus à parler. Comme paralysie ou en tachycardie aussi. Les deux sont possibles. Elle ria, puis elle pleura. Une émotion pure. Un ressenti intense. Une décharge d'énergie. Positive. La joie. La belle tsarine, n'aura pas un deuil de plus à faire, une autre blessure à panser. Elle ne sera point victime du destin et son ami, protecteur non plus. En tout cas pas aujourd'hui. Vivait la vie au jour le jour. Les loups j'ai une nouvelle maxime pour vous : " Celui qui est immortel en notre coeur et âme est notre conscience. Près de nous il sera et pour toujours. Une pensée pour lui c'est comme une goutte de sang pour un vampire. Vital. Essentiel.

Александр! Будьте прокляты. Я думал, ты тоже мертв. Вы здесь надолго? [ Aleksander ! Sois maudit. Je te croyais mort moi aussi. Es tu là depuis longtemps ?]

Depuis bien longtemps, une tension emprisonné dans une forteresse imprenable. Le coeur. S'envola, dans la belle nature. Après tout, la nature fait bien les choses. Elle est le cycle de la vie et des rencontres. Un don précieux, comme la vie. Alors, je vous conte la suite ? Oui ! : Le plus beau des sourires apparut sur son visage marqué par les épreuves. Nous pouvions voir encore les blessures dut à sa guérilla d'hier à cause d'un homme. Elle cacha alors ses blessures, mettant maladroitement sa main près de ses blessures. Elle vit alors le visage de son garde du corps et ami de toujours ce durcir. Mais elle ne pourra pas vous en conter plus, car elle ferma les yeux. Les deux yeux.
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MessageSujet: Re: Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov]   Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov] EmptyVen 9 Déc - 22:47

Je crus que la jeune Tsarine allait me faire un arrêt cardiaque sur place. Puis Aleksander la vit rire puis pleurer. Un arc en ciel d'émotions diverses se déversaient sur son visage parfait. Elle était magnifique et le peuple l'avait aimée, adulée, détestée quelques fois et d'autres fois était resté bouche bée sur tant de beauté. Ce qui arrivait à Aleksander à ce moment là. Lui même était envahi par des émotions contradictoires. L'envie de la prendre dans ses bras, celle avec qui il avait partagé tant de choses bonnes ou mauvaises. Des moments durs et difficiles, comme l'attentat dans lequel elle faillit perdre la vie. Il était resté à son chevet, veillant sur elle tel un ange gardien mais il était qu'un garde du corps fidèle à sa Russie natale et celle qui la représentait.

Александр! Будьте прокляты. Я думал, ты тоже мертв. Вы здесь надолго? [ Aleksander ! Sois maudit. Je te croyais mort moi aussi. Es tu là depuis longtemps ?]

Il sourit et la vit mettre sa main du côté de la blessure qui était restée, celle qu'elle portait sur le ventre, grande et large cicatrice que le temps n'effacerait pas. Et l'autre, sur son sein, faite quand son agresseur l'avait poignardée, tentant de toucher son cœur. Et il y avait ce bleu qu'elle avait à la pommette, son visage redevint dur.

Je suis là depuis longtemps ma Reine. Bien longtemps. Je croyais vous avoir perdue, comme j'ai perdu ceux qui m'étaient chers...Qui a osé te frapper au visage ?

Il attendait une réponse et s'approcha d'elle alors qu'elle fermait les yeux pour cette fois la prendre dans ses bras et l'embrasser sur le front. Les larmes aux yeux, il se détacha d'elle. Il ne pouvait pas oublier Jillian et n'arrivait pas à en faire le deuil. Ils étaient si heureux, si proches, si soudés que rien n'aurait pu briser leurs liens. A part la mort, et elle était partie trop vite. Ainsi que ses filles. Il avait besoin de réconfort...

Il se retourna vers Elisabeth et l'embrassa longuement sur les lèvres. Ses bras l'entouraient. Puis il lui prit la main et l'emmena chez lui. Dans son antre, son QG, son havre de paix. Arrivé chez lui, il lui demanda si elle voulait à boire et lui dit de faire comme si elle était chez elle. Ils s'assirent sur le canapé, buvant à leur santé mutuelle puis bien vite la soirée se finit dans le lit d'Aleksander. Une nuit plutôt douce en compagnie d'une femme magnifique et sensuelle. La féminité à l'état pur.
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Elisabeth E. Alekseiva
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MessageSujet: Re: Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov]   Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov] EmptyLun 12 Déc - 21:18

Aleksander Loskov & Elisabeth Alekseiva
малый мир на небесах украденные
Un peu de paix volé aux cieux


Peu importe que tu sois une femme à la vie douce et tranquille ou un assassin aux yeux d'aciers. On a toujours une faiblesse, notre talon d’Achille. La joie d'une femme ou encore la seule part d'humanité d'un assassin. Que cela soit du présent ou du passé. En ce jour, j'ai nommé la famille qui est souvent l'équilibre ou le déséquilibre d'un être humain. Mais moi, je vous parlerai de cette facette de nous même, pourtant aujourd'hui ce sont des fantômes, des corps dévorés par les vers, peu importe que notre conscience ce dit cela, notre cœur en fait une toute autre histoire. C'est pour cela que le deuil est un duel entre notre conscience et notre cœur. Mais je vous le dis tout de suite, évitez cela car vous n'en guérirez jamais. C'est éternel comme les cicatrices sur mon sein et mon ventre. Je peux vous dire aussi qu'en plus d'être votre faiblesse, c'est le genre de truc à vous transformer en machine à tuer si quelqu'un touche à un seul de vos proches. Mon âme et mon cœur vous le dis en chœur : " Tant que tu ne l'auras pas trouver cet assassin, une larve de colère, de peine, de douleur te rongera de l'intérieur et tel une gangrène se propagera à travers ton toi et te donnera l'envie d'en finir, de mourir " J'ai pensé ceci pendant un bout de temps et voilà ou on en est. Je ne connais plus ma Russie natale, mon nombre d'ennemi décuple de jours en jours et je tombe littéralement par terre avec mon garde du corps. Je sonne la sonnette d'alarme, j'abandonne tout ? Il y a de quoi ce poser des questions. Et on recommence en boucle, c'est partit les zouzous. Et vous pariez quoi ? Je parie que dans 10 minutes je craque. Mélancolie quand tu nous tiens.

Je suis là depuis longtemps ma Reine. Bien longtemps. Je croyais vous avoir perdue, comme j'ai perdu ceux qui m'étaient chers...Qui a osé te frapper au visage ?


Ce ton d'amour, de servitude, calme alors que tant de vague s'agite sur son beau visage. Des émotions diverses puis plus rien, un masque exprimant de la colère. Je sais, elle n'est pas contre moi. Mais tu es quand même là crispé, te tenant droit.Tu as changés depuis la première fois que je t'ai vue. Tu étais encore un homme qui n'avais rien vus, d'horrible. Tu avais encore une famille, tout comme moi. D'ailleurs, un peu d'histologie de lieu. C'était .... Lors de cette fête dans mon beau palais aux colonnes rouges, rougis maintenant non plus de peinture mais de sang. Je pris une grande inspiration, réfléchissant à la réponse que j'allais lui donner. Il fallait que moi tsarine parle sur un ton sûr, ne laissant aucune passe, aucune possibilité à jouter pour inventer un nouveau stratagème de défense. *Oh non, il va penser à un nouvel échec, Miséricorde soit avec moi ! * Vais-je devoir lui mentir ? *Non, il a bien des indics en ville maintenant qu'il sait que tu es la* Prudence est mère de sureté. Je sais.

Comme moi tu t'es relevé, certes à l'agonie mais on est là aujourd'hui, cela nous suffira pour le moment. Je suis désolé pour ta famille c'est de ma faute.

Faute avouée, faute à moitié pardonné. Encore faut-il que Aleksander se rende compte que c'est à cause de moi qu'il ne reverra pas sa famille. Certes, il a fait lui même le choix de me servir. Je n'ai encore forcé la main de personne. Mais mon histoire, mon visage l'a guidé quand même. Honte à mon corps ! A mon âme souillé de temps de sang. Il est trop tard pour le lavé. Je n'étais pas, je ne suis pas et je ne serai jamais une sainte. Je sais que lorsqu'on est à la tête d'un pays, on a pas vraiment le choix. Mais merde ! Je ne suis pas un pion dans ce monde, je suis un joueur ! Je donnerai une direction à ma vie et laisser moi la prendre. Sinon je vous dis aller vous faire voir. Ne brisez pas mon équilibre.

Tandis que la belle perdu dans ses pensées, sentait l'odeur de l'homme juste à côté, la douceur et la puissance de ses bras à la fois. Elle versa une larme solitaire, seule et légère. Qui passa pour son bonheur inaperçu aux yeux de son Loskov de coeur. Elle se blottit un peu plus dans ses bras. Et tandis qu'elle était bien installée, il se détacha d'elle. Brusquement. Et la tsarine ce dit *Jillian je pense à vous et à vos filles* D'ailleurs il ne dit jamais les noms de ses filles, comment s'appelle-elle ? Peut être qu'ainsi je pourrai mieux leur rendre hommage. Mais encore une fois, une organisation empêche tout ! HELIOS. Un soleil diabolique, c'est sûr ! D'une voix désespéré mais forte à la fois elle dit :
Reste !

La peur de le perdre à nouveau était tellement saisissante, elle en avait des frissons.
Que lorsqu'il se retourna de nouveau, elle ne vit et n'entendit rien. Bien sûr, elle ne rata pas la cerise sur le gâteau, le must du must. Le baiser. Long et tendre. Qu'elle en eut le souffle coupé. Cela faisait tellement longtemps qu'une personne lui fis un baiser par amour. Elisabeth Olga Alekseiva a traversé pas mal d'épreuve pendant son arrivé à New Eden. La ville de la résistance comme des opposants. Aouuh. Elle prit alors dans ses mains, le jeune homme et le fit céder par son beau sourire pour le faire s'assoir par terre. Elle se mit elle même assise, parallèle à lui. Enleva son manteau de cuir et le mit sur ses genoux afin de lui faire un oreiller confortable. Il était crevé, elle le voyait et ne pouvez accepter cela.
Dort, dort Aleksander tu en a besoin
Puis elle lui chanta une belle chanson en Russe et lui sourit.

Aleksander eut un sommeil passionné, oui c'est le mot, non c'était pas mouvementé. Limite, on en pleure d'émotion. Tellement, le spectacle est saisissant surtout lorsque tu te penches vers lui et que tu entends ses phrases, de belles promesses d'avenir. Bientôt bientôt.
"Puis il lui prit la main et l'emmena chez lui. Dans son antre, son QG, son havre de paix. Arrivé chez lui, il lui demanda si elle voulait à boire et lui dit de faire comme si elle était chez elle. Ils s'assirent sur le canapé, buvant à leur santé mutuelle puis bien vite la soirée se finit dans le lit d'Aleksander. Une nuit plutôt douce en compagnie d'une femme magnifique et sensuelle. La féminité à l'état pur."

Peut être que lorsque sa sera son tour, son rêve sera une réponse au rêve de son autre. Mystère. Les papillons voletèrent vers eux, en signe d'approbation. A moins que moi aussi je me mette à rêver. Le rêve est une chose magnifique, elle fait mal quand on se réveille, apprécie là quand tu peux. Car un jour, ce rêve se concrétisera. Peut être pas comme tu l'espères. L'embellie sera quand même là à ta porte, saisis ta chance, elle durera un jour ou elle t'accompagnera un bout de temps. Cela je te le souhaite. Une demi-heure après, un souffle s'accélera *Le loup se réveille* Eh oui. Munit de son plus beau sourire, elle caressa les cheveux de son homme et par je ne sais quel gel, ils se remirent immédiatement en place. Bon bah plus qu'à entendre. Les yeux de la tsarine s'embuèrent de fatigue mais elle ne s'endormit pas, elle ne s'endormira que lorsqu'il lui dira. Elle voulait admirer ce visage, le plus longtemps possible. La jeune femme ne sait pas encore que ses rêves vont lui permettre de l'admirer encore et encore.




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MessageSujet: Re: Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov]   Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov] EmptyVen 30 Déc - 11:21

Ce que je suis devenu, personne ne pourra le changer. Pour passer de soldat à mercenaire assassin, il faut des couilles et plus que ca. Cela inclut un virage dans votre vie. Après la mort de celles que j'aimais le plus, c'est ce qui s'est passé dans ma vie. J'ai changé et la guerre m'a transformé radicalement....Je suis devenu un monstre dans tous les sens du terme. La seule chose qui m'empêchait de sombrer totalement dans la folie et une spirale vicieuse de violence, c'était l'amour. Celui que je portais indéfectiblement à ceux que j'avais perdu et aussi à ma Tsarine. Je discutais avec elle d'ailleurs et lui souris, quand je la vis mettre sa main du côté de la blessure qui était restée, celle qu'elle portait sur le ventre, grande et large cicatrice que le temps n'effacerait pas. Et l'autre, sur son sein, faite quand son agresseur l'avait poignardée, tentant de toucher son cœur. Et il y avait ce bleu qu'elle avait à la pommette fait très récemment, mon visage redevint dur et le regard aussi froid que l'acier. Mes paroles qui suivirent se firent sur un ton d'amour et de servitude, j'étais apparemment calme alors qu'un torrent furieux se déchaine en moi. Des émotions diverses qui transparaissent sur mon visage puis plus rien à part de la colère. Elle n'est pas contre elle. Elle n'a rien fait. Je suis crispé et me tiens droit. j'ai le maintien qu'on m'a appris à l'armée. J'ai changé....en mal. J'ai vu des choses horribles. Ma famille massacrée...Elisabeth qui a échappée de peu à la mort...Et tant d'autres choses. La tristesse revint à grand galops, j'étais sur le point de craquer, les larmes au bord des yeux. Puis mon amie parla avec ce ton sûr qui faisait d'elle une reine. Des paroles qui me firent plaisir.

Comme moi tu t'es relevé, certes à l'agonie mais on est là aujourd'hui, cela nous suffira pour le moment. Je suis désolé pour ta famille c'est de ma faute.

Faute avouée, faute à moitié pardonné. Ses paroles m'ont fait chaud au cœur même si je savais que ce n'était que mensonge pour me réconforter. En fait j'ai bien commencé cette guerre en partie pour elle et venger son honneur ce qui à coûté la vie à ma famille. Hélios va pourrir en Enfer !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je serrais les poings à m'en péter les jointures. J'ai lavé son honneur et continuerais le combat jusqu'à ma mort, je l'ai juré sur la tombe de ceux que j'ai perdu et par mon sang ait prêté serment.

C'est de ma faute...Tu n'as pas à t'en vouloir. Tu ne m'as pas forcé la main, j'ai voulu laver ton honneur de mon propre chef. Si ma famille est morte, j'en suis et en reste l'unique responsable. Ma vie m'appartient, ma destinée est écrite dans le sang de mes ennemis. Maintenant arrêtons de nous fondre en excuses....Cela ne fera pas revenir ceux qui sont morts. Et ils ont été vengés depuis longtemps. Maintenant ce combat est nôtre, celui de notre survie. Tu n'es peut être pas une sainte, mais tu n'es pas souillée. Mes mains sont tachés de sang, pas les tiennes. Maintenant Elisabeth, je suis content de te revoir quand même.

J'étais fatigué, épuisé, mort de fatigue. Je m'en rendais compte alors que j'étais dans les bras de la Tsarine, ma reine, celle pour qui je donnerais ma vie. Je tombais dans ses bras, j'étais à moitié en train de dormir sur elle. Je m'assis sur le sol, en fait ce fut Elisabeth qui me prit les mains, m'aida et me guida. Ce fut elle qui me fit céder au sommeil par le plus beau de tous les sourires qu'il n'avait jamais vu de sa vie. Alors que je somnolais, elle se mit elle même assise, parallèle à moi. Enleva son manteau de cuir et le mit sur mes genoux afin de me faire un oreiller confortable. J'étais fatigué et avais besoin de sommeil. Dans sa bonté, elle accepta de m'aider. Mon amie. Elle me parla mais je ne compris pas ce qu'elle dit. J'étais en train de dormir quand elle me chanta une chanson, chanson qui me rappela ma mère. Une enfance lointaine et tragique.

Dans mon sommeil, j'avais cru être chez moi. Dans mon antre, mon QG, mon havre de paix. Ainsi chez moi, je lui demandais si elle voulait à boire et lui dit de faire comme si elle était chez elle. Ils s'assirent sur le canapé, buvant à leur santé mutuelle puis bien vite la soirée se finit dans mon lit. Une nuit plutôt douce en compagnie d'une femme magnifique et sensuelle. La féminité à l'état pur. J'avais un sommeil aussi passionné que l'amour que je lui portais dans mon rêve. Nous nous enlacions, elle en sous vêtements de dentelle de très bonne facture et assurément hors de prix et moi juste en boxer. Je l'embrassais, elle sur moi, ses seins contre mon torse, mes lèvres contre les siennes, les bras dans son dos. Après le reste ne fut que caresses sensuelles et tendres et petits jeux coquins. Quand elle termina nue, ce fut un vrai régal pour mes yeux. Ensuite nous dormions tous deux l'un contre l'autre, profitant de notre chaleur corporelle respective pour réchauffer l'autre.

Je me réveillais un peu plus tard sur les genoux de ma Reine, qui m'accueillit avec un magnifique sourire. Je lui souris en retour, elle était belle et si forte. Tenir un pays la rendait encore plus grande et encore plus...désirable.
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MessageSujet: Re: Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov]   Who is ? So, russian ? [Aleksander Loskov] EmptyDim 15 Jan - 0:45

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Кавалера Дум
Porteur de malheur


Ce que vous voyez en rêve est le fruit de vos désirs, des bons souvenirs de votre vie. Un désir inassouvis qui est assouvis en rêve, le bon vieux fantasme en somme ! Parfois quand vous venez de subir un traumatisme ou un événement où vous avez rencontré la Faucheuse, c'est une illusion. Une façon d'oublier pour pouvoir dormir. C'est narcotique. Et sa marche mais après 10h00 de sommeil, c'est en sanglot et destabilisé que vous vous réveillez car des fois Morphée est un salop avec vous car votre subconscient ne vous laisse pas le choix. La machine commande, le reste suit ! Sinon on vous élimine nettement et sans violence. Que du plaisir .... Par contre les cauchemars sont encore plus complexe et pervers que les rêves. Les cauchemars sont une manière de se confronter à nous même, d'affronter nos peurs. Mais ils sont aussi le fruit de ce qu'on vis, parfois le cauchemar est le film de notre vie. Enfin, il y a tout ce qui est prémonitoire, ce n'est pas affreux mais avoir conscience de pouvoir connaître des bribes du futur fais peur, surtout si c'est le vôtre et que ce n'est pas rose du tout. Personnellement je pense que mon esprit traumatisé est tellement déréglé que je vais avoir le droit au mix infernal, que du bonheur pour mon garde du corps qui va devoir supporter la douleur qu'il lira sur mon visage sans pouvoir faire quelque chose. Ö mon dieu comme il va avoir du mal à se retenir, il ne faut pas que je m'endorme.

Je regardé tendrement Aleksander, ce visage parfait mélange de violence, de douceur, d'amour et de chagrin. Je lui rendis mon sourire. Un sourire figé de bonheur, qui se décontractait au fur et à mesure. Mes paupières tombaient lourde de fatigue, mes épaules s’affaissèrent comme si le poids de mon rang était plus grand que celui de mon corps physique et enfin mon dos se plaqua contre le bois, je ressentis une griffure mais rien d'autre. J'étais parti au pays des rêves. Espérant que ceux ci;me soit plus doux et agréable. Oui, depuis 1 semaine je dormais mal, envahis par des cauchemars qui me meurtrissait, qui me faisait paniquer. Des rêves de mort, de personne mourant avec qui j'aurais le souvenir d'une grande dispute. Je vivais aussi des horreurs que Hélios allaient m'infliger. J'entendais des noms bizarre murmurer à mes oreilles alors que j'étais seule, je m'en souviens d'un seul : Lupo. Pourquoi louve en italien ? 3h00 de sommeil est ce que je dormais en moyenne par jour à cause de tout cela. Avouons ce n'est pas brillant, si Aleksander le savait, je serai obligé de rester au lit tant que je n'aurais pas récupérer mes ladite heures de sommeil. Autant dire que mon inactivité serai grande et jamais je ne pourrai me le permettre. Le temps passe déjà bien trop vite.

Mes yeux s'adaptèrent à la luminosité du paysage, des femmes passant devant moi me disent, voyant mon regard perdue : vous êtes en Arcadie ! Arcadie un nom peu commun, cela ressemble à Avalon, c'est certainement son équivalent au pays des rêves. Dans tous les cas, l'endroit est très charmant et lui convient parfaitement. Elle entra alors dans une tente qui portait son nom en russe. Mon subconscient m'offre de beau cadeau aujourd'hui. Quand, je pénétra dans la tente, je vis un homme étendu sur le lit, au début je pris peur mais voyant que c'était Aleksander, je m'approchai avec grâce vers lui. Il me dit alors souriant : c'est mon QG. J'avais envie de dire que s'était le nôtre mais je me retiens. Nous nous installâmes dans sur son canapé, buvant une bouteille de Wisky comme le veut la tradition russe. Mais je ne sentais rien, aucune émotion comparait à mes cauchemars. Quelle déception ! Alors le rêve finis en sensualité, le reste je ne peux vous le raconter je ne m'en souviens point. Mais l'Acardie me manque déjà, si seulement New Eden pouvait être aussi pure. Ne la nomme-on pas Eden ? Après tout Eden signifie la spiritualité, le renouveau d'un lieu. On m'a dit de ne jamais croire à la religion, je comprends aujourd'hui pourquoi : Elle n'est que mensonge, tous comme les rêves.

Retournons dans le parc, j'étais maintenant installé dans les bras de Aleksander, qui faisait des mouvements avec ses bras, comme pour me bercer. Il semblait me parler, en russe, mes oreilles n'était pourtant sûr de rien. *Tant mieux mon esprit me dit, il faut profiter*Mon souffle étais encore régulier. Aussi calme que le vent peut l'être avant une tempête. Une tempête dévastatrice, allez balayer mon visage tranquille, détendus, mon corps allez secréter tout sorte de produit pour atténuer la douleur de mes rêves, pour me faire tout oublier. A si seulement, on pouvait se souvenir sans rien ressentir de mauvais pour nous. Mais bon annihiler vos émotions et elles vous reviennent au centuple.

Tandis que mon sommeil était lucide et profond, j'entamai un nouveau cycle rythmé par des rêves aussi exotique les un que les autre. Trouvai-je les USA et la Russie trop commune, trop froide ? Cela m'étonnerait, c'est les seul lieux où j'ai des souvenirs. Ah les souvenirs, j'ai oublié ils jouent un rôle important. C'est le point de base de tout rêve. On le déforme jusqu'à faire quelque chose de plus convenable alors que la déformation d'un souvenir pour un cauchemar est effectué à l'inverse. Comme une aiguille d'une montre déréglé.Cela commence bien mais fini toujours de façon malheureuse. Jamais de la même façon. Alors que la fin heureuse est unique et inchangée depuis des siècles. Le monde ne tourne vraiment pas rond.Après en avoir fini avec les bizarreries, j'entamai un rêve et je vais vous le conter car je m'en souviens. C'est la trame du porteur de malheur. Pour tout vous dire, je préférai les bizarreries du cycle précédent.

J'étais avec Isaac je dormais dans ses bras, paisiblement, nous avions les jambes croisés tous les deux. L'étreinte était brûlante, passionnée, naturelle, simple, tranquille. Nous nous sommes encore une fois aimée, jusqu'à la fin de la nuit, avant de reprendre notre route. La route de la révolution. En présence des gardes de la ville, nous nous étions installé dans leur campement pour préparer l'offensive. Ils nous avaient bien accueilli, ils avaient respecté notre intimité, ils combattent pour nous. Ils ont gagnés ma confiance et mon honneur. Insouciant, un carnage se dressait devant nos portes mais nous étions sourd devant le danger. Cette fois ci le danger murmurait qu'il n'y avais pas d'échappatoire, non il hurlais même ! En entendant des cris, je sursautai violemment réveillant Aleksander, je lui chuchotai alors : Tu entends ? Il me répondit d'un signe de tête et mis son doigt sur ma bouche, je ne devais n'y parler n'y bouger. Je le voyais sortir de la tente, je courais vers lui mais tout se ralentissait, je n'allais pas assez vite. Des coups de feu qui retentissaient de partout. Une ombre qui s'effondrait par terre. Le temps s'arrêta. Malheureusement, ce n'était que le début, le cauchemar était loin d'être terminé. Dès que la tsarine franchiserait la tente, sa vie changera à jamais.

Dans le parc, la jeune femme bougeait sans cesse, des rictus déformait son beau visage. Ses cheveux étaient collé contre son cou par la sueur sur son visage. Des gémissements sortaient de sa bouche. Des gémissements de douleur, de chagrin. Son corps convulsait à chaque fois que le cauchemar se poursuivit.

La tsarine, digne sortit de la tente affronter ses ennemis mais il n'y avait personne. Que des cadavres de personne ayant partagé un ou plusieurs moments de sa vie mais aucun ennemis, aucun homme dont elle avait mis leur tête à prix en elle même. Qu'ils soient tous maudit ! Au premier pas qu'elle fit, elle vit sa meilleure amie défigurée et morte : Phoenix, une femme pleine de joie, d'humour, une russe honorable, le rayon de soleil de la tsarine. A sa vue, elle ferma les yeux, son coeur se serra. L'instant d'après c'était Catherina qui était étendue là morte, les jambes sectionnés. Qui avaient été massacré ? Plus elle avançait, moins elle tenait debout. Elle titubait, soûl de la mort de ses amis. Mais elle continua à avancer, elle vit alors une silhouette qu'elle n'avait pas vu depuis longtemps : Serenity Daniels, celle qu'il l'avait aidé. Elle avait été violé, ses cuisses bien en vue, dégoulinant du sang encore frais. Au bout de la chaine, se trouvait l'unique homme de la brochette de mort. Devant lui, elle vomit ses boyaux, elle ne vit même plus clair. Il l'avait assassiné, lui ! Son amour, celui qui représenté sa vie. Elle s'allongea sur le corps, froid, elle le massa, lui fis un bouche à bouche. Désespéré, elle cria. Ses cris se répercutant dans l'abîme et dans le parc.

Nooooooooooon

Un cri de désespoir, secoué de sanglot, de douleur, de peine, ses muscles saillant, son visage crispé. C'est ce qui reste de sa tsarine qui emprisonné dans son cauchemar ne voulait se réveiller. La réalité et le rêve étaient confondu dans un ensemble complexe. La dame était destabilisé mentalement et émotionnellement.




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